Les réflexions que je vous propose ont pour thème : Le péché est vu par la religion comme l'œuvre du démon tentant les êtres humains. Parallèlement à cela un certain nombre de mouvements philosophiques mettent en avant le péché et la passion pour arriver au bonheur.
Dans cette réflexion, je m'intéresse à son origine, à ses différentes formes, à ses différentes influences philosophiques mais également à ses limites face à la réalité.
Le monde est un lieu qui garde encore beaucoup de ses mystères sur ses origines que nous commençons tout juste à connaître. Or l'homme n'a cessé d'inventer son passé par l'intermédiaire de médiateurs tel que les mythes, les légendes ou les religions, se heurtant parfois aux idées communément répandues. J'ai donc analysé le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui, vu la manière dont nous domestiquons la nature et ai regardé les représentations symboliques associées à notre planète.
Le mot robot, apparut il y a moins d’un siècle, est déjà très présent dans notre quotidien, nos préoccupations, nos attentes. Après avoir longtemps cru que ceux-ci prendraient la place de l’homme au travail, résoudraient les problèmes majeurs de la société ou encore domineraient la vie des hommes. On se rend compte aujourd’hui que les réalisations possibles sont celles que l’on crée et qu’ils ne pourront jamais remplacer l’être humain.
Les secteurs d’application se sont beaucoup diversifiés. Ils sont utiles dans un grand nombre de domaines, allant de l’industrie à la médecine en passant par une utilisation domestique ou encore scientifique, à travers des robots tel que l’Unimate 001, Caspar, Aibo ou encore Microbe…
En s’inspirant de la nature, les chercheurs tentent aujourd’hui de donner aux robots, une forme humaine, synthétisant le vivant pour créer peut-être une symbiose entre l’homme et la machine. C’est ce que tend à montrer l’exposition l’homme transformé à la Cité des Sciences en mettant en avant des applications bioniques et cybernétiques pour l’avenir de l’homme. |